Tibills n'était pas de bonne humeur ce soir là. Le temps ne se prêtait pas à une remontée de son humeur. Brumeux. Humide. Brise glaciale. Le lapin avançait presqu'à l'aveuglette au milieu des bois qui menaient à l'entrée de son terrier. Heureusement qu'il connaissait le chemin par cœur. Il avait prit ce chemin des centaines de fois, il ne prenait même plus le temps d'observer les merveilles que la nature offrait à lui sur son chemin. Dévotion d'une mère rouge-gorge qui nourrissait son enfant dans son nid, amour taquin entre deux écureuils qui grimpaient sur un tronc de chêne, arc-en-ciel de fleurs aux mille senteurs qui l'entouraient.
Mais ce soir, Tibills n'avait pas le coeur à regarder ça. Habituellement, en s'approchant du Terrier, il sentait quelques émanations propres à son chez-lui. Hors, là, rien. Il pressa le pas et faillît tressaillir en arrivant devant l'entrée. Un champ de ruine. Quelqu'un ou quelque chose avait ravagé sa demeure. La demeure des Puants. Demeure qu'il avait creusé avec ses compagnons... Gratak la belette qui avait insisté pour construire la taverne en premier... Alana qui s'inquiétait que le réseau ne présentait aucun soucis d'hygiène... Mauti qui avait vite rejoint la belette à la taverne... Dulahan qui aimait à se glisser dans l'Ombre pour observer sans être vu... TruTru le schtroumpf cultivateure-cueilleur-fumeur aujourd'hui décédé... Gecko qui restait toujours à l'extérieur, préférant se dorer au soleil... Et Tyran. Brave petit Tyran. Dernier arrivé, prometteur petit loup qui avait les mêmes ambitions que Tibills.
Tibills inspecta les décombres, plus rien n'était habitable. La taverne en ruine... Les chambres dévastées. Heureusement aucun corps inerte, chaque puant devait être de sortie. Tibills serra ses poings et poussa un hurlement bestial. Il tomba à genou, frappant de ses poings le sol. Il souhaitait se réveiller.
Après s'être calmé, il ressortit du terrier, le regard noir de rage. Il remarqua alors sur le tronc qui surplombait leur demeure en ruine une emprunte de main. Noire. Comme si la main avait été recouverte de terre et que la personne s'était appuyée à l'arbre, comme pour admirer son oeuvre.
Que faire ? Comment trouver le coupable ? Des dizaines de cibles potentielles lui venaient en tête, mais aucune d'entre elles ne connaissait l'emplacement du Terrier. Le lapin méditait à la question lorsqu'il entendit des bruits de pas. Un autre Puant sans doute, ou le coupable qui revenait sur les lieux de son crime.
Le lapin se cacha derrière le tronc d'arbre et observa la scène...
Mais ce soir, Tibills n'avait pas le coeur à regarder ça. Habituellement, en s'approchant du Terrier, il sentait quelques émanations propres à son chez-lui. Hors, là, rien. Il pressa le pas et faillît tressaillir en arrivant devant l'entrée. Un champ de ruine. Quelqu'un ou quelque chose avait ravagé sa demeure. La demeure des Puants. Demeure qu'il avait creusé avec ses compagnons... Gratak la belette qui avait insisté pour construire la taverne en premier... Alana qui s'inquiétait que le réseau ne présentait aucun soucis d'hygiène... Mauti qui avait vite rejoint la belette à la taverne... Dulahan qui aimait à se glisser dans l'Ombre pour observer sans être vu... TruTru le schtroumpf cultivateure-cueilleur-fumeur aujourd'hui décédé... Gecko qui restait toujours à l'extérieur, préférant se dorer au soleil... Et Tyran. Brave petit Tyran. Dernier arrivé, prometteur petit loup qui avait les mêmes ambitions que Tibills.
Tibills inspecta les décombres, plus rien n'était habitable. La taverne en ruine... Les chambres dévastées. Heureusement aucun corps inerte, chaque puant devait être de sortie. Tibills serra ses poings et poussa un hurlement bestial. Il tomba à genou, frappant de ses poings le sol. Il souhaitait se réveiller.
Après s'être calmé, il ressortit du terrier, le regard noir de rage. Il remarqua alors sur le tronc qui surplombait leur demeure en ruine une emprunte de main. Noire. Comme si la main avait été recouverte de terre et que la personne s'était appuyée à l'arbre, comme pour admirer son oeuvre.
Que faire ? Comment trouver le coupable ? Des dizaines de cibles potentielles lui venaient en tête, mais aucune d'entre elles ne connaissait l'emplacement du Terrier. Le lapin méditait à la question lorsqu'il entendit des bruits de pas. Un autre Puant sans doute, ou le coupable qui revenait sur les lieux de son crime.
Le lapin se cacha derrière le tronc d'arbre et observa la scène...